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 Deirdre l'Ombre

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Deirdre
Sorcière
Deirdre


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Date d'inscription : 21/05/2007

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MessageSujet: Deirdre l'Ombre   Deirdre l'Ombre Icon_minitimeMar 22 Mai - 20:42

Nom : deh Sharandar
Prénom : Deirdre
Surnom : l'Ombre, la Cartomancienne
Âge : inconnu...
Métier : Solitaire
Royaume : Tous et aucun...
Elément : l'Ombre
Race : Sorcière

Physique :
Une goutte noire. Deux. Trois.
Des perles de jade sombre s'écoulent le long d'une joue de porcelaine, roulant jusqu'au creux d'une bouche écarlate. La jeune femme passa sa langue entre ses lèvres pour y recueillir la larme ténébreuse. Tête baissée devant le miroir ébréché de l'auberge où elle loge, elle attend que la crise se termine. Une nouvelle quinte de toux secoue son corps à la fois frêle et musclé, elle s'effondre sur la bassine et y crache de nouveau son sang.
En cet instant, son si beau visage n’est plus qu’un masque de douleur. Ses traits tirés et couverts de sueur sont complètement déformés, ses cheveux d’un roux flamboyant se collent à son front lisse. Ses sourcils haussés rident sa peau pâle, tels deux barres de feu dans un désert d’albâtre. Elle ferme les yeux, soupire. Est-ce bien fini ? Oui, enfin...
D'une démarche souple, témoignant d'une musculature imposante, elle se dirige jusqu'à son lit. Elle s'y assit, enfouit son visage dans ses mains longues et fines, aux ongles démesurés. Ceux-ci s'enfoncent dans son cuir chevelu, rageusement. De ses paumes couvertes de cicatrices, elle essuie ses larmes sombres. Ne pas se laisser aller.
Enfin, ses orbes d'un vert aux nuances d'or apparaissent. Profondes, inexpressives pourtant, elles scrutent la pièce. Ce sont deux joyaux incrustées dans de la blanche opale et sertis dans un velours noir. Ils restent glacés, sans cesse. Elle n'aime pas laisser voir ce qu'elle pense et ce qu'elle ressent.
Elle se lève à nouveau et se dirige vers sa penderie. Elle serre sa taille déjà fine dans un bustier de métal qui comprime sa belle poitrine. Les manches tiennent à la fois de l'armure et de la robe d'apparat, d'un vert émeraude accordé à son regard. Une jupe faite de lames métalliques tombe jusqu'à ses pieds chaussés de cuissardes. Elle attrape ses armes, les range. C'en est fini...
Psychologie :
Faible et forte, brûlante et glacée, la dame d'Ombre est d'une exquise ambivalence. C'est quand elle se cache qu'on l'aperçoit le mieux, c'est quand elle se montre qu'elle est discrète.
Elle n'est pas le moins du monde séductrice, et pourtant son charme naturel attire et repousse. Elle captive et fascine. En vérité, son seul passage prend les regards et les conversations s'arrêtent. Non qu'elle soit particulièrement belle, non, juste impressionnante et passionnante. Elle ne semble pas s'en rendre compte, et lorsque cela lui arrive, elle est incroyablement gênée.
Elle déteste par-dessus tout les compliments et les louanges, surtout quand elle ne les mérite pas. Chacun parle d'elle comme une sauveuse, ce qui ne lui plaît pas du tout. Elle ne veut que la perte de Meldron et de son cher Siawn Hy, elle ne les laissera à personne d'autre. Dusse-t-elle tuer pour pouvoir les assassiner...
Elle n'a pas de haine particulière pour les relations humaines, cependant elle n'aime pas les chercher et n'est pas très habile pour tenir une conversation. Elle sourit peu, ce qui la rend peu sympathique à entretenir, malgré sa grande culture qui lui confère un panel de sujets assez divertissant. Cependant, peu sont ceux qui réussissent à lui faire ouvrir la bouche.
Très silencieuse, elle ne s'exprime que si elle n'a d'autre choix - un relent de son ancien mutisme, très probablement. Elle ne dit que ce qui doit être dit et va directement à l'essentiel. Son naturel très franc ne l'incite pas au mensonge, qu'elle a un don pour deviner. Lorsqu'on essaye de la duper, elle soupire et demande à son interlocuteur de cesser immédiatement pour lui dire la vérité.
La vérité en dépit du mensonge...
Nerveuse, elle rit sans cesse. Un rire sans joie, qui montre son état d'énervement permanent. Elle démarre au quart de tour lorsque l'on l'irrite, sans un mot, armée de sa seule épée. Lors des rares moments où elle s'exprime, elle ricane sans cesse, aussi ses interlocuteurs croient-ils souvent qu'elle se moque d'eux - ce qui n'est par ailleurs pas rare.
Elle a toujours une réplique acerbe dans la bouche. Elle n'est pas un modèle de gentillesse, bien au contraire, elle n'a aucune notion de morale et se moquer des gens ne l'ennuie guère. Très froide, très hautaine, très désagréable aussi...
Mais au fond, pas si terrible que cela.

Arme : un athamé à la poignée de cornaline incrustée d'un filigrane d'argent
Signe particulier ou objet fétiche : Deirdre est atteinte d'une étrange maladie qui la fait tousser et cracher du sang sans cesse. Elle est alors d'une grande faiblesse et vomit, pleure et s'affaiblit. Ses larmes sont noires et elles aussi l'affaiblissent...
Elle saigne beaucoup plus que la moyenne et rit sans cesse, nerveusement.
Elle possède une marque noire sur le sein droit.
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Deirdre
Sorcière
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MessageSujet: Re: Deirdre l'Ombre   Deirdre l'Ombre Icon_minitimeSam 26 Mai - 19:50

Histoire :
Les yeux perdus dans la lueur de l’âtre, la créature retrace ce passé si long, si lointain… les âges glorieux et sombres de son existence aux sempiternels retours au commencement. Son visage dissimulé dans l’ombre, l’être est seul dans l’obscure pièce, enfermé dans sa douleur comme dans un étau cruel comprimant ses chairs… lacérant son âme. Un long soupir, exprimant toute l’horreur du monde, tous ces fardeaux que la créature porte sur ses épaules. Un retour au commencement de tout…
La pluie contre la vitre, autant de cailloux jetés contre le verre si fragile, tandis qu’un cri de femme déchire la nuit. Les étoiles semblent trembler… sentent-elles la douleur de la mère enfantant de son unique descendant ? Celle de la progéniture qui se cogne la tête contre les os du bassin ? Celle du père qui sait que son aimée va perdre la vie ? Ou alors est-ce encore autre chose qui échappe au commun des mortels… quand le son d’un cri aigu et bien trop puissant secoue la maisonnée, quand les pleurs d’un père retentissent, quand le silence se fait entre les lèvres d’une défunte, seule les étoiles peuvent dire encore les secrets de la vie, à voix basse.

Quel outrage, cet enfant rieur qui porte la marque des femmes… le père se cache les yeux. Il n’a pas su avoir un fils de son seul mariage, jamais il ne prendra d’épouse… du moins, pas d’épouse moins belle que la précédente, et il sait qu’aucune ne peut égaler sa Dame en beauté. Aucune. Aucune ne doit représenter l’Eau et l’Air de leur caste aussi bien qu’Elyah deh Sharandar.
Il est riche, très riche même. Célèbre par-delà les montagnes, le nom deh Sharandar retentit comme un fouet et fait ouvrir les portes comme la plus efficace des clés. Une fortune et une gloire dûe à des combats, à des trocs plus ou moins légaux, à une vie en apparence exemplaire… la Noblesse, et toutes les classes inférieures, tous respectent ce nom. Les femmes sont Artisanes ou mères de famille, les hommes sont Chevaliers ou travaillent dans l’orfèvrerie.

Et voilà que Thénar et Elyah deh Sharandar donnent naissance à cette petite fille, aux dépends d’Elyah… Thénar l’appela Deirdre, ‘celle qui donne la mort’ en une langue ancestrale. L’enfant était destinée à vivre avec, sur les épaules, un fardeau bien trop lourd… sa conscience était déjà entachée, elle avait tué sa mère et son père le lui ferait payer très cher à l’avenir.
Trop cher.

Deirdre grandit dans un calme relatif, dans une solitude trop réelle. Enfermée dans une pièce sans fenêtre, elle n’a jamais vécu autrement que dans l’emprisonnement. De temps en temps, des serviteurs venaient lui apprendre les bonnes manières, lui donnant quelques notions de base en matière d’éducation. Aucun ne parlait beaucoup, Thénar avait donné l’ordre d’ignorer Deirdre, et de toute façon celle-ci paraissait muette. Seulement un jour, une vieille femme, haute comme trois pommes, se prit d’affection pour la petite fille –alors âgée de six ans. Gnüwela, c’est ainsi qu’elle se nommait, était une illusionniste puissante. La vieille créature décida d’enseigner à son élève, à qui elle était censée apprendre à coudre, l’art magique.
Gnüwela informa également Deirdre que son père ne désirait pas la connaître, jamais. Pour Thénar, elle était l’assassin de sa génitrice. C’était pour cela, et uniquement pour cela, que la petite fille était cloîtrée depuis tant d’années dans une pièce sans issue. La femme naine conjura son élève de ne rien tenter jusqu’à manier parfaitement la magie et les armes, jusqu’à être grande. Ainsi, ‘celle qui donne la mort’ rumina sa haine et sa vengeance pendant dix années, dix années passées à s’améliorer en combat, en magie, en tout, toujours silencieuse. Une éducation parfaite et des mœurs mondaines, qui ne devaient lui servir en rien, mais une deh Sharandar restait une deh Sharandar.
Dix ans passèrent donc, et bien que la petite fille devenue jeune femme ne puisse s’en rendre compte –les miroirs faisant défaut dans sa latomie-, elle était devenue d’une beauté rare et précieuse. Sa peau était couleur de perle, et ses cheveux, jamais coupés, atteignaient le creux de ses reins. Gnüwela, lors de sa dernière visite, voulut empêcher Deirdre de sortir… sa beauté aurait pu lui causer de sérieux ennuis. Mais la jeune femme n’y prit pas garde, elle saurait se défendre contre tout, contre tous. Et toujours dans le même comportement tacite.
Pendant toutes ces années, elle s’était appliquée à créer son jeu de tarot. Les dessins de ses Arcanes étaient élégants et alambiqués, et semblaient posséder un étrange pouvoir. Même son Maître de Magie, Gnüwela, ne parvenait à décrypter l’utilisation de ces cartes. Deirdre en changeait les traits à volonté. La carte de la Lune représentait la dessinatrice elle-même, le Diable était un homme sans visage –Deirdre présageait d’y représenter son père-, quand à la Tempérance, c’était Gnüwela.
Armée de ce seul jeu, elle sortit de sa geôle –comment ? ceci est un secret magique, peut-être l’un des pouvoirs de ses Arcanes- et se rendit dans le bureau de son père. Celui-ci accusa le coup en voyant cet être splendide devant lui. Elyah semblait revenue d’entre les morts, plus pâle, plus délicate et plus rayonnante que jamais. Cet être devant lui, hyalin et aussi précieux que le cristal, lui causait le plus grand trouble et la plus grande peur. Le laissant ainsi stupéfait, Deirdre sortit son jeu de cartes et le Diable. D’abord, elle n’en montra que la tranche, tenant l’Arcane entre deux doigts, puis lentement, dévoila la carte à son père.
La voyant, il porta une main à son cœur. Sa respiration se fit plus haletante. Il pâlit visiblement tandis que Deirdre s’approchait de lui à pas lents, comme un fauve prêt à se jeter sur sa proie. Arrivée à quelques centimètres de lui, le frôlant presque, elle entrouvrit les lèvres et sa voix jaillit, rauque, pour la toute première fois.
« Je te hais ».
L’homme s’évanouit. Elle le fixa avec mépris tandis que les gardes s’approchaient d’elle, l’emprisonnant à nouveau, dans une chambre cette fois-ci. La lumière du jour, une fenêtre, la curiosité… l’air frais. Deirdre goûtait un plaisir nouveau, celui de la liberté, mais cela ne s’arrêterait pas là.
Son père, remis de sa surprise, vint la voir. Il lui fit alors part de son désir d’avoir un fils, s’excusa pour les tourments qu’il lui avait infligés, fut tout sucre tout miel. Etonnée, elle le laissait la couvrir de présents, lui manifester maintes preuves d’amour –paternel, bien sûr-, être aussi enfievré avec elle qu’un amant faisant la cour à sa dulcinée. Deux années passèrent ainsi, dans un monde tout nouveau. Elle n’était plus recluse nulle part, et aimait plus que tout les grands espaces, les randonnées à cheval –seule, elle aurait mieux apprécié, mais son père ne voulait pas la lâcher d’une semelle.
Elle ne fut guère étonnée quand il reparla de son désir d’avoir un fils. Loin d’être stupide, elle avait bien compris que sa beauté avait eu un effet étrange sur son père, au point de lui donner des élans incestueux. Elle fit mine de se plier à la volonté paternelle, acceptant bon gré mal gré les dîners, les soirées en tête-à-tête, tout en affutant la lame de la haine en elle. Le soir où il s’infiltra dans sa chambre, vêtu simplement d’une robe de chambre, elle avait préparé sa sanglante vengeance.
La lame qui parcourut l’homme de part en part ne le tua pas, mais le castra. Avant la mort, la honte… Deirdre prenait un malin plaisir à le faire souffrir. Elle le tortura longtemps, physiquement, psychologiquement, emportée dans un tourbillon inextricable de haine, de revanche, de folie… et enfin, quand il n’en put plus, elle sortit l’Arcane du Diable.
Que se passa-t-il, on l’ignore, mais les supputations les moins folles disent que l’Arcane a aspiré l’âme de Thénar. Quoi qu’il en soit, Deirdre prit peur et partit sur les routes, gardant derrière elle la fortune deh Sharandar et la puissance de l’ancestrale famille. L’amour ? Elle n’en voulait pas. Son père l’en avait dégoûtée avant l’âge, avant même qu’elle ait pu y goûter réellement. Elle sillonnait les routes, et l’illusionniste guerrière, la Cartomancienne, devint célèbre pour ses pouvoirs étranges.

Abordant dans une ville aux confins de Tara, elle décida d’y séjourner quelques temps. L’accueil y était agréable, la bière coulait à flots, l’amitié primait sur le reste. Ce fut là que Deirdre rencontra sa perdition, sa damnation, le Mal qui l’envoûterait à jamais. Sous la forme d’un homme au visage masqué – partisan de Meldron -, qui l’entraîna à l’écart avant de l’embrasser goulûment, imprimant par la même occasion la marque de l’Ombre sur sa poitrine.

Combien de temps passa, alors qu’elle était recluse entre les murs du palais du Mage ? Elle n’a pas compté. Elle ne parlait plus, à nouveau, s’enfermant dans un silence irritant. Ses regard étaient fixes, elle semblait être une statue de pierre, un être de marbre froid. Dans l’ombre cependant, elle préparait une nouvelle vengeance : la liberté, elle l’aurait, quel qu’en soit le prix.
Lentement, l’Arcane de la Mort, l’Arcane XIII, prenait forme… le visage de son geôlier s’y dessinait. Elle refusait toujours à son initiateur l’accès à sa couche, elle ne lui parlait pas, elle ne le regardait pas. Son air était hautain quand il était dans la pièce, elle ne prenait pas garde à ses marques de tendresse. Il voulait ses pouvoirs, elle le savait, il pouvait encore courir longtemps. Ceux qu’il lui avait offerts, les pouvoirs des Ténèbres, elle ne s’en séparerait jamais…
De la même manière que Thénar, il disparut subitement. L’Arcane XIII sembla prendre vie, comme l’Arcane du Diable avant elle… La Cartomancienne fit alors peur, cette créature éminente maîtrisant des pouvoirs occultes. On dit qu’elle est revenue dans le château de son enfance rendre son âme à son père, en tous cas, le lendemain de la visite d’un étrange rôdeur, on retrouva le cadavre de Thénar… frais comme s’il était mort la veille, mais exsangue.
Le roi eut vent de son don exceptionnel pour l’Art Occulte et la convoqua en son palais. Il l’interrogea longuement, la testa, demanda à voir son Tarot si célèbre –ce qu’elle refusa-, puis décida qu’elle avait sa place en tant que grande mage. Elle refusa et se laissa alors oublier par l’ensemble du monde, sillonnant le monde, femme guerrière, femme magique.

Les temps passaient. Elle erra à travers les Royaumes, de Caledon à Prydain, puis à Llogres, cherchant la porte d’Avalon. Un jour, son chemin croisa celui de Siawn Hy, perfide guerrier au service de Meldron. Elle reconnut en lui un allié de ce Mage qu’elle avait tant haï et leur bataille fut fulgurante. Seule contre son armée, elle défendit au péril de sa vie un village. Non pas par bonté, elle ignore cette notion, mais par haine envers la Horde des Loups. A une contre dix, elle n’avait aucune chance, et pourtant.
Après Scatha, elle était la meilleure guerrière d’Albion et cela se voyait. Sa magie et ses armes lui permirent de vaincre Siawn Hy et de le mettre en déroute, elle fut chaleureusement remerciée par les villageois. Gênée, elle s’eclipsa lors de la fête en son honneur. Ce fut ce moment-là que choisit Meldron pour attaquer de nouveau le village, ravageant au centuple le lieu si chèrement défendu par l’Ombre.
L’Ombre qui défia, par trois fois encore, l’armée du Grand Chien…
Bientôt, le nom de la Cartomancienne courut sur toutes les lèvres, non plus comme une femme assassine, mais comme une sauveuse potentielle. Elle est pourtant neutre, la Solitaire, et ne désire aider personne. Elle veut juste vaincre cet être qu’elle hait implacablement. Et le jour où elle y parviendra…
C'est à cette époque-là que sa maladie naquit. Elle existait en fait depuis que la marque de l'ombre était apparue sur son sein droit, une simple toux qui persistait, cependant ce jour-là elle se développa furieusement. Elle crache le sang, elle sent la mort venir. Et son instinct terrible lui confie que le seul moyen d'y échapper est de se rallier à Meldron.
Jamais. Elle se sait traquée par Siawn Hy et son prince, elle ne les aidera jamais. Mais aujourd’hui encore, nul ne sait exactement qui est cette Deirdre, cet être glacial immola deux êtres sur l’autel de sa vengeance…
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Beltane
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MessageSujet: Re: Deirdre l'Ombre   Deirdre l'Ombre Icon_minitimeSam 26 Mai - 19:51

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