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 Ffand la Sauvageonne

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Ffand Isleen

Ffand Isleen


Nombre de messages : 4
Date d'inscription : 02/06/2007

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MessageSujet: Ffand la Sauvageonne   Ffand la Sauvageonne Icon_minitimeDim 3 Juin - 11:18

Nom : Isleen (vision)
Prénom : Ffand (la colombe)
Surnom : la Sauvageonne ou la Colombe
Âge : à peine une quinzaine d'année
Métier : nièce du roi de Caledon et vagabonde
Royaume : Caledon
Elément : le feu
Race : humaine

Physique :
Ffand n'est pas vraiment belle ni désirable, et encore moins majestueuse. A dire vrai elle s'en fiche complètement. Sauvage jusque dans son allure, elle ne cherche pas à avoir l'air noble et compassé, non. Elle ne sait pas marcher, elle court tout le temps, même dans le château. Elle ne sait pas rester calme et tout son aspect respire la vivacité et la jeunesse. De son corps déjà bien formé et très musclé à son visage flamboyant, elle donne un coup de fouet à toutes les "vieilles peaux", comme elle se plaît à les nommer.
Ses traits ne sont pas gracieux et pourtant ils troublent. Sa peau légèrement hâlée prend des reflets d'or au soleil et illumine son visage court. Ses joues sont légèrement trop rondes, son front un peu trop haut, ses yeux trop étirés, sa bouche trop épaisse et son nez trop droit. Non, elle n'est pas parfaite, et pourtant indiscutablement attirante. Quand elle passe, les regards sont attirés par elle, non qu'elle soit belle mais sa fougue séduit.
Elle n'a jamais pris la peine de coiffer ses cheveux. Mal coupés, assez courts, ils sont maladroitement attachés en une queue-de-cheval de laquelle s'échappent une multitude de mèches rebelles. Elle passe souvent une main gantée de cuir dans cette chevelure pour dégager son regard sombre. C'est là tout ce qui lui importe : voir loin. Le reste, elle s'en moque éperdumment.
Elle ne se vêtit que de rouge et de blanc, ses couleurs. Pour tout ornement, elle arbore une ceinture et des gants de cuir.
Psychologie :
Ffand est double. Lunatique à l'extrême, elle change sans cesse d'humeur, passant du plus grand calme à la colère la plus vive, de la joie la plus intense à la tristesse la plus poignante. Tout chez elle est éphémère, l'amour comme la haine. Cette inconstance permanente lui a valu le qualificatif d'"enfant immature" par la plupart de ses frères et soeurs.
Elle est tête en l'air et étourdie, il lui arrive souvent de s'abîmer dans ses pensées pendant plusieurs minutes qui paraissent soudainement longues à ses interlocuteurs. Elle oublie toujours tout et égare des objets à longueur de temps, surtout quand ils sont précieux et importants, au grand dam de son entourage. Elle essuie les colères de ses aînés stoïquement, sachant très bien qu'elle ne changera jamais.
Elle n'aime pas qu'on la contredise, elle n'aime pas qu'on lui donne des ordres, elle n'aime pas qu'on tente de la guider. Elle est éprise de liberté et de vie, supportant mal d'une cage les barreaux ou les pierres d'un château. Le pouvoir, elle s'en moque totalement, surtout s'il implique de rester enfermée sans cesse derrière des murs algides, vraiment elle n'en veut pas. Elle veut vivre, c'est tout ce qui compte.
En bonne sauvageonne, elle passe ses journées à l'extérieur. Souvent habillée de peu, les cheveux libres, elle sillonne les collines d'Eire à la recherche de nouvelles aventures. Vive comme un feu ardent, emportée au gré du vent telle la fumée, elle se laisse aller sans prendre garde au risque. Risque ? Pour elle ce mot ne veut rien dire. Dans sa liberté et sa témérité, elle ose tout sans retenue, avec un sourire immense comme à son habitude.
Garce profonde, chieuse notoire, elle trouve un certain plaisir à ennuyer tous ceux qui l'entourent. Elle a la réplique acerbe et le verbe fallacieux, ses sourires sardoniques sont une véritable damnation. Elle est insupportable quand elle s'y met, choquante et vulgaire, manipulatrice et odieuse. Bien sûr, elle peut être agréable, mais toujours ce tempérament lunatique qui la fait changer d'opinion en deux temps trois mouvements.... et qui l'empêche d'avoir une vie sociale. Tantôt, elle veut de la compagnie, tantôt, elle la repousse.
Pourtant, au fond, elle aime avoir des amis et des gens avec qui converser. Elle n'accorde pas facilement sa confiance, méfiante envers autrui (à défaut de l'être envers les situations) cependant elle la reprend rarement.
Ffand, une colombe sauvage et éprise de liberté qui veut tout, sauf ce que tout le monde désire...

Arme : une épée et une matraque
Signe particulier ou objet fétiche : elle a une immense croix celtique tatouée sur le dos.

Histoire :

Il y a quatorze ans, la soeur du roi de Caledon, Lady Isleen, donnait naissance à sa fille Kareena. Son époux, Lord Isleen, partit aussitôt en guerre : l'enfant était né et vivait, sa femme était en bonne santé, il pouvait se détendre. Enfin. Lord Isleen n'aimait pas rester chez lui, et encore moins à présent : nul doute que l'enfant serait désagréable au possible, brailleuse, affamée, et peu disposée à obéir aux serviteurs. Ainsi il ne vit pas les dix premières années de celle qui se renommerait seule Ffand.
Elle vécut pendant quatre ans tout à fait normalement, recevant les bons soins qu'une princesse se devait d'avoir, passant de longues heures à jouer dans le jardin du palais royal de Caledon. Elle grandit sous la pluie, sous le vent, couverte de baisers par sa mère et de regards attendris par les serviteurs. Elle avait notamment un "nourrice" attitré, un elfe venu d'Eire - qui cachait ses dons. Il riait sans cesse avec elle et s'occupait de sa protégée avec le plus grand dévouement. Jamais, durant ces quelques premières années, Ffand n'eut à connaître la peur.
Jusqu'à ce jour de juin. Le soleil brillait, chose fort rare, et elle était partie se promener seule - sans autorisation, évidemment - dans les marécages qui entouraient le palais. Elle avait chu dans l'eau vaseuse, tombant sans cesse plus profond. Un grand monstre l'y accueillit, grand monstre avec qui elle eut une passionnante discussion au sujet de philosophie. La grande question de celui qui, dans un autre monde, était nommé Nessie, était de savoir qu'être ou ne pas être, là était la question. Le monstre expliqua à Ffand qu'il écrivait beaucoup mais que son talent ne serait jamais reconnu dans ce monde, elle en fut fort attristée - sans même se rendre compte qu'elle ne respirait plus.
A ce moment précis, deux mains la saisirent et une chevelure blonde lui masqua la vue du monstre. Elle piailla alors que Nessie s'exclamait : "Fourberie, ton nom est femme !" en voyant sa première amie s'envoler loin de lui. Ce ne fut qu'arrivée sur la berge qu'elle comprit, à sa toux violente, qu'elle avait failli se noyer. Elle jeta un regard dégoûté à la surface lisse du lac et développa dès lors une aversion envers l'eau. Parfaitement compréhensible au vu de ses pouvoirs.
Celui qui l'avait sauvé était Luthien Manariàn, son elfe de protection. Il lui ordonna de ne plus jamais retourner dans les marécages seule, elle répondit en son for intérieur qu'il y avait vraiment peu de risque. Ses sorties non-autorisées, pour ainsi dire, se dirigèrent vers la ville proche. La proximité de l'Etang et de la Ville aurait d'ailleurs fait un excellent sujet pour un philosophe qui y aurait certainement vu une allégorie de la vie et de la mort et un paradoxe très intéressant. En effet, l'Etang avec ses eaux stagnantes, son apparence morte et son absence apparente de population pouvait tout à fait représenter la mort alors que la ville, emplie de gens pressés et d'activités diverses, représentait la vie. Mais la ville grouillait comme les vers sur le corps d'un cadavre et puait comme ledit corps, alors que l'Etang était empli d'insectes, de fleurs, de plantes diverses, l'Etang était le nid de la vie. Mais là n'est pas le sujet.
A part ce petit incident, l'enfance de Ffand fut un long fleuve tranquille. Elle découvrit accidentellement ses pouvoirs, lorsque, à l'école où elle allait - pour avoir un peu de vie sociale et une bonne éducation -, un garçon crut bon de l'ennuyer en l'insultant de diverses choses. Elle lui dit qu'il n'était qu'un rosbeef.

A finir
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